L'arnaque du "syndrome des faux souvenirs"

L'arnaque du "syndrome des faux souvenirs" ou "aliénation parentale".

Les pédocriminels inventent des maladies mentales pour lutter contre les victimes en tentant de discréditer leurs témoignages et les faire passer pour folle, avec internement psychiatrique à la clé, médications et électrochocs forcés.

Victimes de viols, victimes de la psychiatrie

La très très grande majorité des psychiatres ne sont pas formés d'une part et d'autre part ne souhaitent pas l'être pour entendre et comprendre les victimes de viols sinon ils feraient des efforts pour qu'ils en soit autrement, mais ils sont indifférents. Ils se contentent du savoir accumulé lors de leurs années d'études qui ne comportent aucune formation quant aux chocs post-traumatique et leurs conséquences chez les victimes de viols en particulier....en effet, même les psychiatres soit disant spécialistes des chocs post-traumatique ne savent pas faire la différence entre les conséquences d'un attentat ou d'un décès traumatisant et un viol, alors que les conséquences sont différentes

Ils peuvent expliquer durant des heures ec qu'est un choc post-traumatique, mais ils sont incapables d'expliquer ce qu'est un viol et surtout EN QUOI est-ce un crime !!!!!!!!!!!!!

Ils ne savent pas reconnaître une victime de viol, comme dans les commissariats la victime ment ou doit se justifier comme si parler, dénoncer était un crime, LE crime !

Les bourreaux sont libres, jamais quasiment inquiétés ni par la justice ni par la psychiatrie d'où leur assurance à recommencer, comme pour les délinquants récidivistes, sauf qu'ils sont des criminels et sont bien plus dangereux.

Victimes de viols, victimes de la psychiatrie ou comment crimes et tortures sont profitables aux familles des victimes.

Nul n'est sensé ignorer que biens des familles ont fait enfermer et enferment toujours des proches et ce avec la complicité des psychiatres fermant les yeux.

Cette mise à l'écart de la société et ces enferment forcés, comme on enfermerait des criminels sans procès, ce fait pour des questions d'économie d'énergie mais surtout d'économie d'argent. Même raisons que pour l'euthanasie des adultes et des enfants.

Pour d'autres familles, les psychiatres de par leur jugement, leur ignorance ou leurs mauvaises intentions ayant discréditer la parole des victimes, les familles ne les croient plus non plus...et la blouse blanche représentant une autorité, ils préfèrent croire en cette autorité porter par un parfait inconnu plutôt que de croire au fruit de leurs entrailles, leur propre chair et leur propre sang.

Véritable trahison pour les victimes, laissées à l'abandon elle se retrouvent trois fois plus isolées du reste de la société ; une première fois par le viol subit qui leur donnent le sentiment d'être sale, honteuse et coupable d'un crime qu'elles n'ont pas commis pour autant, une deuxième fois parce qu'elles sont abandonnées et discréditées par des législateurs indifférents et troisièmement parce que le corps médicale à deux vitesses comme la justice n'entend pas non plus préserver le bien-être des victimes au détriment du bien-être des coupables. Contrairement aux coupables majoritairement libres, les victimes sont jugées et enfermées. C'est le monde à l'envers ! Et c'est surtout criminel car c'est là encore toucher à leur intégrité mentale et physique ! Elles se retrouvent dans un tel état de solitude et de désarroi qu'elles se suicident parfois.

Les victimes de viols, victimes de la psychiatrie sont les victimes de la corruption, de la violence, de l'ignorance et du pouvoir d'individus, essentiellement des hommes qui ont déjà celui de leur force physique, mais qui ont aussi celui de leur statut professionnel voire sociale et de leur statut financier.

Les victimes de viols, victimes de la psychiatrie n'obtiendront que très très rarement justice si elles survivent sous le seuil de la pauvreté. Ces citoyen(ne)s de seconde zones j'ose dire ne sont pas prit au sérieux du fait de leur manque de richesses matérielles, qui ne confèrent pas aux yeux d'une société de consommation et de consommateurs un crédit suffisant pour être rentable. Ce qui est rentable par contre pour cette société marchande est de les enfermer de force, ce qui signifie les obliger à payer un séjour hospitalier qu'elles n'ont pas demandées ! Voire un traitement sur ordonnance qui leur devra être administré sous surveillance à l'hôpital, c'est à dire débourser de l'argent sous la menace d'être ré-enfermées si elles ne s'y astreignent pas. Comme être menacé de se retrouver la corde au coup sans le minimum vital si la présence aux rendez-vous n'est pas respectés (RSA). Quand on sait que qui dit viol, dit aussi isolement social et chômage, pas la peine de faire un tableau du calvaire, du parcours du combattant auxquels les victimes doivent faire face. D'autant que plus elles sont pauvres plus les bâtons dans les roues sont nombreux ! Là aussi, de par leur manque d'argent, elles ne sont pas prises au sérieux, une épée de Damoclès en guise de croix à porter, un fardeau en plus de l'incompréhension et des préjugés.

Bref, les victimes sont tenues en laisse comme des chiens ! Aucune initiative, aucune entreprise, aucun crédit ne leur sont accordés, elles devront avancer seule à contre-courant pour rejoindre le large et commencer une nouvelle vie malgré les vents/opinions contraires.

À toutes celles et ceux qui sont sur le chemin, courage !